Tabgha, un rivage...
La compassion, une urgence dans notre monde…
Ne laisse pas ta vie se taire !
A la découverte des différents articles d’actualité proposés dans ce site, ce chant m’est naturellement venu à l’esprit.
Pourquoi ?
Ces articles peuvent nous toucher en différents lieux de nous. Ils peuvent nous plaire à 100 %. Mais ils peuvent aussi nous agacer, nous déranger. Ils peuvent nous décourager parfois. On peut ne pas être d’accord avec ce qu’ils disent.
Mais ils ont été choisis pour nous ouvrir à un autre regard sur les événements que notre point de vue personnel naturel, pour enrichir notre compréhension, pour nous aider à discerner dans nos choix.
Ce qui est le critère commun à tous ces articles, c’est la compassion pour les Petits, la défense de l’Humilié, la voix de l’Oublié, …
Faisant cela, ils viennent toucher une énergie positive qui est en nous plus ou moins enfouie, plus ou moins reconnue, plus ou moins acceptée. Ils viennent réveiller un dynamisme de vie, une puissance d’engagement pour la vie.
C’est là que se situe notre raison d’être à Tabgha : au service des Petits et au service de cette vie qui est au plus profond de chacun pour aller la chercher dans son enfouissement et lui tracer un chemin. C’est cette vie-là que nous célébrons dans ce chant écrit par Edouard Houis.
Marie Hélène
NE LAISSE PAS TA VIE SE TAIRE
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1 – Ne laisse pas ta vie se taire, Ne laisse pas réduire sa voix, Fais la chanter, ample et légère, Pas de concert complet sans toi, Fais la chanter, ample et légère, Du plus profond cri de Toi. 2 – Laisse tomber tes feuilles mortes, Tout un passé s’envole au vent, Les branches de ton arbre portent Nouveaux bourgeons pour ton printemps, Les branches de ton arbre portent Sève nouvelle, ton printemps. 3 – La vie en toi, c’est une source, Jaillissement riche et secret Qui monte et coule et se ressource, Eau fraîche offerte aux assoiffés, Qui monte et coule et se ressource, Eau fraîche : on va s’y baigner. 4 – La vie en toi, c’est une larme : Contre la mort elle se bat. Les vivants, seuls, pleurent et s’acharnent ! Les trépassés ne pleurent pas … Les vivants, seuls, pleurent et s’acharnent, Victorieux du trépas. |
5 – La vie en toi, elle étincelle, |