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Le nombre des enfants palestiniens dans les prisons israéliennes monte en flèche

palestine« Israël s’est enfoncé un peu plus dans l’ignoble cette année : il a arrêté et emprisonné sa plus jeune détenue, Dima al-Wawi, âgée de 12 ans, la condamnant à près de cinq mois de prison.
Dima a été arrêtée en février parce qu’elle se serait approchée avec un couteau de la colonie de Karmei Tzur, dans le sud de la Cisjordanie occupée. Toutes les colonies d’Israël sont illégales en vertu du droit international.
Elle a déclaré qu’elle avait eu l’intention de poignarder un garde de la sécurité, mais l’incident n’a donné lieu à aucune blessure.
Israël a libéré Dima dimanche, après qu’elle eut purgé la moitié de sa peine, sa famille ayant fait appel avec succès contre sa mise en détention sur la base que la loi israélienne interdit l’incarcération des enfants de moins de 14 ans.

Voir l’article complet…

On ne peut que se réjouir que La France appelle à une réunion internationale sur le processus de paix israélo-palestinien, cet été à Paris, sans les protagonistes, en convoquant une vingtaine de pays. C’est une initiative qu’Israël n’a pas hésité à critiquer ouvertement et que les Palestiniens ont plutôt bien accueilli, soulignant que “le processus de paix bilatéral sous l’égide des Etats-Unis a échoué, tandis qu’une négociation multilatérale comme celle qui a permis de signer un accord sur le nucléaire iranien pouvait réussir”.
Une fois de plus cette initiative risque d’être un coup d’épée dans l’eau…. Malheureusement ! Pourtant seule une solution politique s’impose quand on voit l’escalade dans laquelle se trouve les deux pays.
Face à l’attitude colonialiste et répressive d’Israël, les violences, l’accaparement des terres, les bombardements, les check-points, la Palestine se trouve de plus en plus dans un état critique et la perspective de voir un État palestinien viable s’établir aux côtés d’Israël dans la paix et la sécurité s’éloigne dangereusement.
ces quelques images ci-dessous valent plus qu’un discours :
(vous pouvez les voir plus clairement ici)

officiels israeliens

eau-palestine

niveau-de-vie-palestine

impact-psychologique-palestine

restrictions-israeliennes

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Tenter de trouver avec notre prochain un terrain commun d’humanité
« Puissions-nous en ces moments entendre l’invitation de Dieu à prendre soin de ce monde, à en faire, là où nous vivons, un monde plus chaleureux, plus humain, plus fraternel. Un temps de rencontre, avec des proches, des amis : un moment pour prendre le temps de vivre quelque chose ensemble. Un moment pour être attentif aux autres, quels qu’ils soient. Un temps de partage de notre amitié, de notre joie. [...] Un temps de prière, aussi : attentifs à ce qui se passera dans notre monde à ce moment- là. Prions pour ceux qui en ont le plus besoin, pour la paix, pour un meilleur vivre-ensemble. »
Père Jacques Hamel
dans le bulletin paroissial de l’église Saint-Étienne, en juin, avant son assassinat
La compassion est en train de quitter notre monde

" "A ceux qui se demandent quel sorte de manque ronge silencieusement nos sociétés, il faut répondre : la compassion. Cette sollicitude spontanée que les bouddhistes appellent la maitrise et qui est assez proche, au fond, de l'agapê des chrétiens.
Aujourd'hui, on a beau prendre la réalité contemporaine par tous les bouts, une évidence crève les yeux : la compassion est en train de quitter notre monde. A petits pas. Insidieusement. Or, avec la compassion, c'est le bonheur de vivre qui s'en va. Disons même la gaieté.
Nos rires deviennent tristes. Notre sérieux est navrant. Nos prudences sont moroses. Nos "fêtes" sont sans lendemain. Nos plaisirs sont boulimiques et plutôt enfantins. Tout se passe comme si la frénésie jouisseuse de l'époque cachait une sécheresse de cœur et une stérilité de l'esprit.
La gaieté véritable, celle que nous sommes en train de perdre, c'est celle de l'aube, des printemps, des projets. Elle se caractérise par une impatience du lendemain, par des rêves de fondation, par des curiosités ou des colères véritables : celles qui nous "engagent".
Cette vitalité joyeuse ne doit pas être abandonnée à la contrebande des amuseurs médiatiques ou des clowns politiciens."

Paroles partagées par Jean-Claude Guillebaud en conférence en 2015 à Briec-de-l'Odet (29).